Les prochaines conférences pour la protection de l’environnement devraient aussitôt opter pour des mesures sévères et efficaces pour de résultat probant laps de temps réduit. Les prévisions en 2015 ou en 2050 ne devraient même pas être prononcées ; il faut agir et vite. Si l’on veut lutter contre le réchauffement climatique, il faut remettre à zéro le compteur de consommation d’énergie non renouvelable : essence, gasoil … En effet, il n’y a aucune raison que les ressources naturelles de la Terre ne suffisent pas à répondre aux besoins énergétique de la population mondiale.

Les énergies renouvelables sont sous exploitées au profit des géants pétroliers qui eux refusent indirectement l’option pour les énergies propres. Or si la population a besoin de plusieurs milliards de kilowatt d’énergie par jour, les ressources naturelles ne sont pas moindres. La mer représente 71% de la surface terrestre et augmente car des îles disparaissent ; avec ses 360 millions de kilomètres carrés, les océans sont en mesure de fournir assez d’énergie pour tout le monde. L’énergie obtenue par les mouvements des vagues ont été récemment exploités par le Portugal qui se veut être le 2ème pays écologique de l’Union Européenne. Du pôle Nord au pôle Sud, l’énergie des courants marins peut donc être tirés par un câble sous marin grâce à ses mouvements.

Si chaque pays membre de l’ONU essayait de rentabiliser tous leurs fleuves, l’air qui est gratuit et le soleil qui a encore des millions d’années à vivre. Toutes ces énergies ajoutées rempliraient certainement notre besoin énergétique. Il manque l’investissement majeur de la part des gouvernements. Les ordures en biogaz, la chaleur de la Terre pour climatiser sa maison, on peut vivre en vert de la maison au travail.

Dans ce cas, on serait dans la barre du Zéro émission de gaz à effet de serre. Pas besoin de conférences pour le réaliser, les volontés pro environnement doivent être accompagnées d’un budget colossal mais pour un monde plus écolo. Les compagnies pétrolières devraient alors se contenter de transformer leurs produits en de fibres dans le textiles, le plastiques ou autres sans dégager plus de CO2.